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Ferme des Pins

Exploitants brebis laitières

Entreprise cliente Cerfrance Dordogne depuis 2012

ACHETER GAGNANT AVEC CERFRANCE DORDOGNE

Un véhicule utilitaire de la marque Ford tout beau tout neuf acquis avec la participation de Cerfrance Dordogne. Sandrine et Gilles Faure, de la Ferme des Pins, profite pour la troisième fois de l’offre Cerfrance Avantages proposée par leur cabinet de conseil et d’expertise-comptable et qui leur a permis de recevoir une prime suite à leur achat.

« Nous avions besoin d’un utilitaire pour transporter notre marchandise sur lequel nous pouvions atteler une remorque réfrigérée », indique le couple. « En plus, le précédent ne sentait pas bon car un de nos salariés avait renversé du lait dedans et, comme il ne nous l’avait pas dit, le véhicule était resté 15 jours au soleil ! », renchérit Sandrine Faure.

HISTORIQUE ET PRESENTATION DE L’ACTIVITE

Sandrine et Gilles Faure ont installé leur exploitation de brebis laitières et leur fromagerie sur la commune de Chartrier-Ferrière en 1984. « Mes parents faisaient déjà du fromage de chèvre sur la commune. Pour ne pas faire de concurrence, je suis parti sur la brebis ! », indique l’agriculteur. « Je suis tombée amoureuse et j’ai quitté Paris pour le rejoindre », raconte Madame Faure. « L’Amour est dans le pré 30 ans avant l’émission ! », plaisante-t-elle.

200 bêtes, 14 hectares de SAU (Surface Agricole Utilisée), 54 000 litres de lait par an, 2 laboratoires de transformation, 3 salariés à temps plein. Aujourd’hui, l’exploitation a bien grandi et a évolué en Groupement Agricole d’exploitation en Commun (GAEC) en 2012, date à laquelle elle a rejoint Cerfrance Dordogne. « Outre la comptabilité, mon rôle est aussi de vulgariser les informations et de rassurer mes adhérents comme Madame Faure, qui est d’une nature anxieuse », dit Brigitte Jalès, la comptable Cerfrance Dordogne.

VENTE DES PRODUITS

Fromages, yaourts et riz au lait sont vendus sur les marchés, dans les supermarchés, magasins de producteurs et épiceries fines, et distribués dans les cantines scolaires et cuisine centrale. « Nous avons en fait trois métiers : éleveur, fromager et commerçant », affirme Sandrine Faure. Le couple d’agriculteurs a su s’adapter aux circonstances : si la vente à la ferme avait été abandonnée parce que trop gourmande en temps, la livraison à domicile a été mise en place lors du confinement. « Depuis le Covid-19, certains consommateurs ont pris l’habitude d’acheter des produits locaux », expliquent-ils. « Ce qui nous a permis de capter des clients supplémentaires. »

LES PROJETS A VENIR ?

Sandrine et Gilles Faure préparent déjà la retraite, dans moins de 10 ans. « En attendant la décision de notre fille sur la reprise de l’exploitation, nous devons éventuellement envisager la création d’une fromagerie vers les bergeries [Ndlr : les deux laboratoires se situent dans l’enceinte de la maison d’habitation] pour pouvoir retrouver un repreneur… ».

La proximité et l'échange sont au coeur de nos valeurs.